Événement à l'Office des Nations Unies à Genève lors de la 56e session du Conseil des droits de l'homme

Jul 25

Temps de lecture : 2 min

L'événement a mis en lumière les restrictions alarmantes de la liberté d'expression et d'opinion en Azerbaïdjan et a discuté des implications pour la gouvernance démocratique et l'activisme environnemental dans le contexte de la COP29.

L'événement parallèle a abordé les implications plus larges de ces arrestations sur la liberté d'expression et d'opinion en Azerbaïdjan, détaillant comment ces actions s'inscrivent dans un effort systématique visant à étouffer la dissidence et à contrôler l'information.

Nous avons relié la question à la COP29, en explorant l’effet dissuasif qu’une telle répression a sur l’activisme civique, y compris la capacité des militants locaux et internationaux à plaider en faveur d’une action climatique significative.

Samad Rahimli s'est adressé au public sur la situation générale dans le pays et a mis en lumière l'histoire de Toplum TV, un média local fermé en Azerbaïdjan en mars 2024.

« La répression actuelle s'inscrit dans le cadre d'une répression systématique contre les médias indépendants et les ONG ».

Anar Orujov a partagé l'histoire des arrestations de son frère, en 2017 et 2024. Il a souligné que Kanal13 et ses membres sont confrontés à la persécution du gouvernement depuis des années. Il a partagé une vidéo personnelle de l'arrestation de son frère, soulignant que

"Derrière chaque nom figurant sur la liste des journalistes emprisonnés en Azerbaïdjan se cache une personne réelle".

Diana Nazarets a souligné la détention d'Anar Mammadli et a souligné l'obligation de l'Azerbaïdjan, en tant que prochain pays hôte de la COP29, de respecter ses obligations internationales dans le domaine des droits de l'homme.

« Il n’y a pas de justice climatique sans droits humains ».

Karyna Pavlova a souligné qu'il y avait 300 prisonniers politiques en Azerbaïdjan, parmi lesquels 30 journalistes. Elle a souligné les cas de Famil Khalilov et Hafiz Babali – des militants handicapés emprisonnés, qui souffrent en détention en raison du manque de soins médicaux.

"Nos collègues subissent une pression constante pour ne pas s'exprimer".